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Création : 05/09/2015 à 07:25 Mise à jour : Hier à 12:21

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14 articles taggés Asie de l'Est

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Japon - Meiji-jingū

 
Japon  -  Meiji-jingū
Japon  -  Meiji-jingū Torii ouvrant le chemin principal
 
Le Meiji-jingū ou sanctuaire Meiji, est un sanctuaire shintoïste situé en plein c½ur de Tōkyō, dans l'arrondissement de Shibuya, en bordure du quartier Harajuku.
 
Histoire

En 1915, une commission choisit un terrain appartenant à la Maison impériale et situé à Yoyogi, un quartier de Tokyo, comme emplacement pour la construction d'un sanctuaire dédié aux âmes divines de l'Empereur Meiji, mort en 1912, et de sa femme l'Impératrice Shōken, morte en 1914, bien que les deux époux reposent à Kyoto. Le sanctuaire a été construit avec un musée de 1912 à 1920 au milieu d'un jardin dessiné par l'Empereur et composé de 100 000 arbres donnés de tout le Japon lors de la construction. Le lieu accueille les Jeux du sanctuaire Meiji de 1924 à 1942, le principal événement sportif du Japon d'avant-guerre. Le temple a été détruit par les bombardements de 1945 et reconstruit en 1958, principalement en bois de cèdre4. En 1973 a été construit le shiseikan, salle d'entrainement aux arts martiaux (dojo). De 1990 à 1993, un nouveau bâtiment a été construit : le kaguraden, une salle de danse traditionnelle kagura pour fêter les 70 ans du sanctuaire. Une annexe au musée a été construite récemment à l'est du site.
 
C'est le plus grand lieu de culte shintoïste du pays, où l'on célèbre de nombreux mariages et cérémonies.
 
Japon  -  Meiji-jingū Entrée de la cour extérieure
 
Japon  -  Meiji-jingū                                                                                 Cour intérieure
 
 
Japon  -  Meiji-jingū
  
                                                                    Source Wikipédia
 
Tags : Lieux Sacrés, Asie de l'Est, Japon, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le jeudi 23 novembre 2017 12:20

Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon

 
Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon
        1. Le jardin Kenroku-en à Kanazawa (Préfecture d'Ishikawa)

Kenroku-en (兼六園) ou, littéralement, le « jardin aux six aspects », a été entretenu par la famille Maeda, régente du Domaine de Kaga (actuelles Ishikawa et Toyama). Son nom se réfère aux six spécificités du jardin idéal : l'espace, la sérénité, la vénérabilité, le panorama, le travail humain et le cours d'eau.
 
On pourra y contempler l'étang artificiel Kasumigaike des collines ou des pavillons, et apercevoir la lanterne de pierre devenue le symbole de Kenroku-en. Selon les croyances, un sage ermite immortel vivait sur l'île au centre de l'étang, c'est pourquoi cette dernière symbolise l'espérance de la longévité et de la prospérité.
 
 
Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon
 
Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon
         2. Le jardin Kairaku-en à Mito (Préfecture d'Ibaraki)

Le Kairaku-en (偕楽園), ouvert en 1842, a été conçu par Nariaki Tokugawa. Construit pour les seigneurs, les guerriers et les roturiers, il mêle des caractéristiques de parc moderne et de jardin japonais. Magnifique grâce à sa forêt de cèdres, ses bambous ou encore ses azalées, il est surtout connu pour, au début du printemps, nous éblouir avec ses fameux pruniers et leurs 3000 fleurs d'une centaine de types différents !
 
N'hésitez pas à monter au troisième étage de la demeure Kobuntei (好文亭), témoignage du mode de vie des seigneurs féodaux, afin de profiter d'une superbe vue !
 
 
Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon  
 
Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon
         3. Le jardin Koraku-en à Okayama (Préfecture d'Okayama)

Construit en 1700 sous l'impulsion d'Ikeda Tsunamasa, le Koraku-en (後楽園) est l'un des seuls jardins où l'on peut observer, grâce aux peintures de la période d'Edo et aux registres familiaux, le changement historique.
 
Il cache, entre autres, un stand de tir à l'arc et une forêt de bambous... Et on peut même y profiter des trois floraisons emblématiques du Japon grâce à ses pruniers, ses cerisiers en fleurs et ses érables !
 
 
     Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon
 
Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon
         4. Le parc Ritsurin à Takamatsu (Préfecture de Kagawa)

Mais ces « trois jardins les plus célèbres du Japon » (本三名園) ne sont pas les seules petites perles ! De 1620 à 1875, de nombreuses familles, à commencer par les Ikoma, ont participé à créer le parc Ritsurin (栗林公園), souvent récompensé : Trésor National du Japon, plus vaste jardin japonais à porter le label de « paysage exceptionnel », il a également le maximum de trois étoiles dans Le Guide Vert Japon de Michelin.
 
Surtout connu pour ses bonsaïs, ce parc de 75 hectares regroupe 13 collines, 6 étangs et de nombreux rochers placés dans un équilibre parfait face au Mont Shiun. Si vous êtes de passage à Takamatsu, allez-y, il est à moins de dix minutes en train et cela vaut le coup !
 
 
Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon
 
Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon
         5. Le jardin du Musée d'art Adachi à Yasugi (Préfecture de Shimane)

Le jardin du Musée d'art Adachi (足立美術館) est composé de jardins ayant chacun une spécificité, sur une surface de plus de 15 000 m2. Pour son fondateur, Adachi Zenko, il offre un véritable « rouleau de peinture »... C'est sans doute pourquoi il a été, depuis 2003, élu premier au « Classement des jardins japonais » du magazine américain spécialisé Journal of Japanese Gardening, et récompensé de trois étoiles par le guide japonais de Michelin.
 
La grande particularité de ce parc est d'avoir été conçu comme un tout avec le musée : en effet, on ne peut contempler le jardin qu'à travers les vitres du musée (à l'exception du jardin du pavillon de thé Juryu-an dans lequel on peut se balader), ce qui crée une ambiance toute particulière.
 
 
Les 5 plus beaux jardins japonais du Japon
 
                                  Source :  http://voyapon.com/fr/top-5-jardins-japonais
 
Tags : L'Art en images, Asie de l'Est, Japon, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le mercredi 01 novembre 2017 17:59

Modifié le mercredi 01 novembre 2017 18:22

Chine - Lac Yamdrok-Tso

 
Chine  -  Lac Yamdrok-Tso
 Le lac de Yamdrok Tso vu depuis le col du Gampa La (4800m), avec le Noijin Kangsang
(7206 m) en arrière-plan.
 
Le lac Yamdrok-Tso ou Yamḍok Yumtso est un des trois plus grands lacs sacrés du Tibet. Il a plus de 72 km de long. Il est entouré de montagnes enneigées et nourri par de nombreux petits ruisseaux. Il présente un ruisseau de sortie à son extrémité ouest.
À 90 km à l'ouest du lac, se trouve la ville tibétaine de Gyantsé, et Lhassa est à cent km au nord-ouest.
 
Selon la mythologie tibétaine, le Yamdrok-Tso résulte de la transformation d'une déesse.
 
Exploitation

La construction d'une centrale électrique sur le Yamdrok-Tso débuta en 1989, l'année de la mort du 10e panchen-lama, Choekyi Gyaltsen, fortement opposé à ce projet qui entraînait notamment la disparition du village tibétain de Dramalung et des champs avoisinants.
La centrale, qui est la plus grande du Tibet, entra en activité en 19972 et fut inaugurée en présence de Gyancain Norbu, reconnu par la République Populaire de Chine comme le successeur du 10e panchen-lama. Elle est située aux abords des berges du Yarlung Tsangpo (Brahmapoutre), 850 m en contrebas du lac
 
Chine  -  Lac Yamdrok-Tso      Le lac Yamdrok-Tso photographié depuis le col de Gampa, sur la route entre Lhassa et Gyantsé
 
 
Chine  -  Lac Yamdrok-Tso
 
                                                                    Source Wikipédia
 
Tags : Les Grands Lacs, Asie de l'Est, Chine, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le jeudi 17 août 2017 16:14

Modifié le jeudi 17 août 2017 16:25

Chine - Lac Karakul

 
Chine  -  Lac Karakul
 
Le lac Karakul, ou Karakuli (de l'akkadien "Kara" : Noir et "Ko'l" : Lac) est un lac situé à 196 km de Kashgar dans la province autonome du Xinjiang en Chine, longé par la Route du Karakorum qui relie l'Ouest de la Chine au Nord du Pakistan. Se trouvant à 3 600 m d'altitude, le lac Karakul est le plus haut du massif des Pamir Chinois. Son homonyme côté tadjik, le lac Kara-Kul, également beaucoup plus grand, se situe lui à 3900 mètres.
 
Le lac chinois est entouré de trois sommets de plus de 7 000 m : le Mustagh Ata (7 546 m), le Kongur Tagh (7 649 m) et le Kongur Tiube (7 530 m).
 
Réponse à la question de L--imprudence : Pourquoi noir ?
 
Aucune forme de vie n'existe dans le lac Karakul et les terres au bord du lac sont arides.
 
Malgré son surnom de "lac noir", l'eau du lac Karakul est très claire. En fait la couleur de l'eau varie d'un vert-foncé à bleu-clair, mais plus on s'élève sur les montagnes alentours, plus le lac paraît sombre.


Chine  -  Lac Karakul
 
                                                                   Source Wikipédia
 
Tags : Les Grands Lacs, Asie de l'Est, Chine, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le jeudi 15 juin 2017 04:12

Modifié le jeudi 15 juin 2017 15:35

Rituels et traditions au Japon

 

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Le Japon possède une culture hybride. Alliant tradition et modernité, vous ne pourrez être que séduit par son originalité. Autant à Tokyo qu'à Kyoto, vous pourrez vous perdre dans des dédales de ruelles « médiévales » et passer à côté de tours démesurées et de centres de gambling.
 
La culture japonaise est influencée par la Chine et la Corée mais sait en être distincte également. Les portugais et les américains ont également influencé la culture nippone.
 
D'un point de vue linguistique, 98% de la population a pour langue maternelle le japonais, s'ensuit le coréen, le chinois et le vietnamien.
 
Les arts au Japon sont ancestraux. Danses, art pictural, théâtre, jardins...
 
Rituels et traditions au Japon jardin japonais
 
                Comment est représentée la culture japonaise ? Quels en sont ses symboles ?

♦  Le nô : il mélange chant et danse, on parle plus particulièrement de théâtre nô. Les acteurs sont uniquement masculins et la plupart des pièces tournent au tragique. Les spectacles de Nô peuvent être très lents et durer plus de 3 heures.


♦  Le kabuki : mis au point par des courtisanes , ce sont des hommes désormais qui incarnent les femmes. Le Kabuki mêle chant, danse et théâtre.


♦  Les geishas : qui ne connait pas les geishas ? La geisha est une femme de compagnie de haut rang. Raffinée, experte dans la cérémonie du thé, maîtresse dans l'art d'animer une conversation par de fins mots d'esprit, elles accompagnent des hommes d'affaires et personnalités hautement placées. Il reste encore environ 200 geishas qui exercent ce métier. Si vous souhaitez en croiser, vous aurez plus de chances du côté du quartier de Gion à Kyoto.
 
Rituels et traditions au Japon geisha

♦  L'art du jardin japonais : Les jardins japonais sont de véritables chefs d'oeuvre. Les symboles sont omniprésents, la miniaturisation est de rigueur pour représenter les montagnes, les lacs, les rivières, la mer... Pour se rendre compte de toute la portée magistrale d'un jardin japonais, mieux vaut s'y rendre pour apprécier son art.


♦  Ikebana : l'ikebana est un art traditionnel japonais qui concerne la composition florale. L'arrangement floral japonais crée une harmonie de construction linéaire, de rythme et de couleurs contrairement aux arrangements occidentaux où nous tentons constamment d'ajouter de la couleur et de la matière. L'ikebana va rechercher également l'épuration des formes.


♦  Les sumos : les tournois de sumo sont quasiment immanquables pour tout Japonais qui se respecte. Le sumo est réservé aux hommes. Les lutteurs, de taille imposante, sont élevés au rang de demi dieu. Le déroulement du combat est entouré de rites traditionnelles très marqués.
 
Rituels et traditions au Japon sumo

♦  Les manga : le manga est une bande dessinée japonaise. Elle se lit à l'envers de nos habitudes européennes. Le dessinateur de manga est un mangaka. 60% des Japonais lisent un manga par semaine.


♦  L'origami : l'art du pliage. L'une des représentations de pliage papier les plus connu est la grue japonaise. L'origami utilise une feuille que l'on ne coupe pas. Certains pliages sont dignes de grandes sculptures.


♦  Le hanami : L'art d'apprécier la beauté des fleurs et plus particulièrement la floraison des cerisiers au printemps (mankaï).
 
Il ne faut pas oublier d'inclure dans la culture nippone les arts martiaux traditionnels japonais : karaté, judo, kendo ou encore l'aïkido.
 
 
Rituels et traditions au Japon
 
 
                Source : https://www.whv.fr/japon/presentation-du-japon/culture-nippone/
 
Tags : Arts et Traditions, Asie de l'Est, Japon, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le mardi 16 mai 2017 08:19

Modifié le mardi 16 mai 2017 08:37

Au Japon, un sous-terrain géant anti-inondation

 
Au Japon, un sous-terrain géant anti-inondation
 
Au Japon, un souterrain anti-inondation

Ingénierie De gigantesques infrastructures ont été construites près de Tokyo pour évacuer les surplus d'eau lors des crues
 
A une trentaine de kilomètres au nord de Tokyo, les inondations provoquaient régulièrement des gros dégâts dans la région de Saitama. Entre 1982 et 1996, à cinq reprises, des milliers, voire des dizaines de milliers d'habitations ont été inondées par les crues en raison des typhons et des tempêtes. La topographie des lieux est comparable à une cuve où l'eau des pluies s'accumule. De surcroît, l'urbanisation galopante a accentué les risques d'inondation. Contrairement aux rizières, les habitations ne permettent plus à l'eau des pluies de s'écouler facilement dans les sols.
 
Fort de son expérience dans la gestion des catastrophes naturelles, le gouvernement japonais a financé dès 1993 la construction du Metropolitan Area Outer Underground Discharge Channel. Baptisé «projet G-Can», ce système anti-inondations novateur, le plus grand au monde, est situé sous une route nationale. Les travaux ont duré treize ans. Le coût total de l'infrastructure s'est élevé à environ 2,5 milliards de francs.
 
Le défi consistait, lors de précipitations extrêmes, à récolter le surplus d'eau de plusieurs rivières afin de la transférer dans le fleuve Edo-gawa. «La construction de G-Can a constitué un challenge à tous les niveaux, car ce type d'infrastructure n'existait nulle part ailleurs. Nous avons dû construire un tunnel de plus de dix mètres de diamètre (ndlr.: le diamètre des voies du Gothard mesure entre 8 et 9 mètres) et de 6,3 kilomètres de long à une profondeur de 50 mètres, ce qui n'avait été jamais fait auparavant. Une foreuse spéciale munie d'un bouclier pour la protéger a ainsi dû être construite pour le creusement de ce tunnel», explique Eiichi Oosu, responsable de G-Can.
 
Sa construction a permis aussi l'émergence d'une nouvelle technique. Développée par six entreprises, elle consiste à joindre les segments du tunnel sans utiliser de boulons. Ainsi, le temps de construction a pu être réduit significativement. Cette méthode est d'ailleurs devenue un standard dans la construction de grands tunnels. Celui du système anti-inondation permet de relier cinq silos d'environ 70 mètres de profondeur et de 32 mètres de diamètre. Leur grandeur serait suffisante pour y introduire un vaisseau ­spatial.
 
Avant d'être rejetée dans le fleuve Edo-gawa, l'eau est stockée dans un immense complexe sous-terrain en béton. Centre névralgique du système anti-inondation, il permet de réguler la pression avant le transfert dans le fleuve Edo-gawa. Merveille architecturale, elle ressemble à un temple. Ses dimensions sont impressionnantes: 177 mètres de long, 78 mètres de large et 18 mètres de haut. La structure est soutenue par 59 piliers. Chacun d'entre eux pèse 500 tonnes, soit l'équivalent d'une quinzaine de camions. «Ces derniers permettent de fixer la structure. Il faut se représenter cet espace comme un bateau. Sans ces piliers, il flotterait dans le sous-sol», explique Eiichi Oosu.
 
En cas de nécessité, le tunnel peut déverser jusqu'à 200 m3 d'eau par seconde dans le fleuve Edo-gawa, soit l'équivalent d'une piscine de 25 mètres. Pour le pompage et le rejet de l'eau, une turbine d'une puissance de 14 000 chevaux, soit 20 moteurs de Formule 1, ainsi que 78 pompes ont été construites.
 
La surveillance du système anti-inondation est assurée depuis une salle de contrôle par trois employés. Une vingtaine d'écrans permettent de visualiser différents endroits cruciaux de l'installation. Des informations sur le niveau des eaux ou des précipitations, via des caméras, sont ainsi en tout temps disponibles. «Mais tout n'est pas automatisé ici. En cas de fortes précipitations, les trois employés doivent se relayer pour assurer une surveillance 24h/24 et si besoin activer les pompes», explique le chef de G-Can.
 
La période la plus critique se situe entre juin et novembre, durant la transition entre la saison des pluies et celle des typhons. Les autres mois sont essentiellement consacrés à la maintenance de l'infrastructure.
 
«En moyenne, notre équipe est mobilisée sept fois par an, relève Oosu Eiichi. A chaque fois que les silos et les tunnels sont utilisés, nous constatons des dégâts. Ils sont inévitables en raison des fortes crues. Les coûts s'élèvent entre 150 000 et 225 000 francs à chaque fois que le système est activé. Ils sont toutefois nettement moins élevés qu'en cas d'inondations. On ne peut pas éviter les dommages sur les maisons, comme ce fut le cas en juin 2014 où les pluies ont été les plus fortes depuis le début des opérations de G-Can. Mais notre système permet de limiter considérablement les dégâts.»
 
Signe de succès: Le système anti-inondation intéresse l'étranger. Des experts de Thaïlande et de Singapour se sont rendus au Japon pour l'étudier. «Les pays qui n'ont pas assez de place pour construire en surface, souvent en raison d'une forte urbanisation, sont les plus intéressés par notre technologie de prévention des inondations», conclut Eiichi Oosu.
 
«La construction a constitué un challenge à tous les niveaux, car ce type d'infrastructure n'existait pas ailleurs»
La période critique se situe entre juin et novembre, entre la saison des pluies et celle des typhons
 

Au Japon, un sous-terrain géant anti-inondation
 
                                                                  Source : LE TEMPS

Tags : Aménagements fluviaux, Asie de l'Est, Japon, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le samedi 06 mai 2017 09:20

Île formant le Japon - Hokkaidō

 
Île formant le Japon  -  Hokkaidō
Île formant le Japon  -  Hokkaidō Le Mont Yotei
 
Île formant le Japon  -  Hokkaidō Lac Masshu
 
Hokkaidō, est la plus septentrionale des quatre îles principales de l'archipel du Japon. Administrativement, elle correspond également à la fois à une préfecture et à une région. Le chef-lieu de cette préfecture est Sapporo. Parmi les Japonais qui vivent sur Hokkaidō se trouvent une minorité d'Aïnous, qui furent les premiers habitants de l'archipel.
 
GéographieÎle formant le Japon  -  Hokkaidō

Relief

Hokkaidō est une île située dans le nord du Japon, à proximité de la Sibérie. Elle est entourée par l'océan Pacifique (à l'est), la mer du Japon (à l'ouest) et la mer d'Okhotsk (au nord). Elle est séparée de Honshū par le détroit de Tsugaru.
 
Elle est couverte à 71 % par des forêts et à 16 % par des terres agricoles.
La préfecture de Hokkaidō inclut de nombreuses îles, comme Rishiri, Okushiri et Rebun.
L'épicentre d'un séisme de magnitude 8 se situait à proximité de l'île le 25 septembre 2003 à 19:50:07 (UTC).
 
Le cap Erimo, à l'extrémité sud-est de l'île, se trouve dans le prolongement des monts Hidaka.
 
Tourisme

Le tourisme occupe une place importante dans l'économie de l'île d'Hokkaidō.
 
En 2014 le Japon a attiré plus de treize millions de visiteurs étrangers, ce chiffre est en hausse depuis 2011. La majorité des touristes vient d'Asie, en particulier de Chine, de Taiwan et de Corée du Sud.
 
Hokkaido est doté de paysages divers (montagnes, mer, plaines). Il y a donc de nombreux touristes, notamment grâce aux stations de ski et aux stations thermales. Ces ensembles touristiques attirent beaucoup la population asiatique, et en particulier les Chinois. Ce n'est cependant pas un tourisme qui provient de toutes les régions du monde. La clientèle ciblée vient de pays proches, ou du Japon même. Cela montre la marginalité et la méconnaissance d'Hokkaido, car les principales villes japonaises qui se situent sur l'ile d'Honshū, au « Japon de l'endroit » attirent, elles, des touristes très divers, qui viennent de différents continents. 
 
Île formant le Japon  -  Hokkaidō Parc national de Shiretoko
 
Île formant le Japon  -  Hokkaidō                                          Vue du mont Poroshiri depuis le mont Tottabetsu.
 
 
Île formant le Japon  -  Hokkaidō
  
                                                                   Source Wikipédia
 
Tags : Îles et Archipels, Asie de l'Est, Japon, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le lundi 01 mai 2017 15:17

Modifié le lundi 01 mai 2017 15:39

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