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Création : 05/09/2015 à 07:25 Mise à jour : Aujourd'hui à 17:24

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6 articles taggés Climatologie

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Glaciation _ _ Inlandsis

 
Glaciation _ _ Inlandsis Vue aérienne de la bordure orientale de l'inlandsis du Groenland produisant des courants glaciaires se                                                                          déversant dans des fjords.
 
    Une glaciation (ou englaciation) est une période glaciaire, c'est-à-dire à la fois une phase paléoclimatique froide et une période géologique de la Terre durant laquelle une part importante des continents est englacée. L'histoire de la Terre est marquée par de nombreux épisodes glaciaires. Le Quaternaire se caractérise par leur relative fréquence et leur régularité.
 
Historique des recherches sur les glaciations
 
Les glaciations ont d'abord été mises en évidence grâce à leurs manifestations géomorphologiques (moraines, blocs erratiques) dans les vallées alpines à la fin duxixe siècle. La glaciation de Würm, manifestation locale de la dernière période glaciaire, a été définie par Albrecht Penck et Eduard Brückner au début du xxe siècle, qui lui ont donné le nom d'un tributaire du Danube, la Würm, comme les glaciations alpines précédentes (Riss, Mindel, Günz, Donau). La définition de la glaciation de Würm repose sur les observations des conséquences géologiques de la baisse importante des températures moyennes sur une longue période (nappe fluvio-glaciaire, moraines) dans le massif alpin.
Depuis les années 1950, l'étude des rapports entre les différents isotopes de l'oxygène dans les sédiments prélevés par carottage au fond des océans a confirmé et précisé l'existence de nombreuses fluctuations climatiques plus ou moins cycliques. Elle a permis de définir des stades isotopiques marins, bases d'une chronologie isotopique.
 
Glaciation _ _ InlandsisCycles Glaciaires-Interglaciaires du Pléistocène illustrés par les variations du carbone atmosphérique mesurées dans les carottages glaciaires (subdivisions nord-américaines et européennes et tentative de corrélations)
 
Les causes des glaciations
 
Les causes des glaciations ont fait l'objet de nombreux débats, depuis que le phénomène a été clairement identifié au xixe siècle. Les théories modernes retiennent souvent une relation avec les oscillations périodiques de l'orbite de la Terre (cf. les paramètres de Milanković, paramètres astronomiques), associées à des variations hypothétiques et périodiques dans le rayonnement solaire ou les effets d'un déplacement d'importantes masses continentales vers les régions polaires (paramètres tectoniques).
 
Les conséquences des glaciations

Conséquences globales

Lors d'une période glaciaire, les phénomènes suivants se produisent suite au refroidissement climatique :

♦  formation d'inlandsis : ils s'installent progressivement sur les régions continentales des                hautes latitudes, avec une épaisseur maximale de l'ordre de 3 km, et fluent vers leurs                    marges, détruisant les habitats naturels en place et arasant une partie des reliefs ;
♦  baisse du niveau de la mer (glacio-eustasie) : le stockage de glace sur les continents provoque      la baisse du niveau des océans (de l'ordre de 120 m lors de ladernière période glaciaire) et            provoque l'émersion d'une partie des plateaux continentaux ;
♦  contraction océanique ;
♦  mouvements tectoniques verticaux (glacio-isostasie) : sous le poids de la glace, des                       mouvements tectoniques verticaux affectent les régions englacées et leur marges                           (enfoncement lors de la glaciation, soulèvement ou rebond isostasique lors de la                              déglaciation) ;
♦  modification de la circulation océanique mondiale : elle est alors complètement transformée        (avec des influences réciproques, complexes et méconnues dans le détail, sur le climat) ;
♦  conséquences écologiques et génétiques : en période glaciaire, pour survivre, les espèces              soumises à un froid trop important pour elles, doivent descendre vers les plaines et/ou se            rapprocher de l'équateur. Elles doivent le faire d'autant plus qu'elles sont sensibles au froid,        ou survivre en populations moins nombreuses et parfois moins denses dans des régions              refuges moins touchées par le froid.
 
Glaciation _ _ Inlandsis                                                       Le glacier Isunnguata Sermia au Groenland.


Glaciation _ _ Inlandsis
 
                                                                 Source Wikipédia
 
Tags : Climatologie, Glacier, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le mercredi 09 décembre 2015 12:18

Modifié le vendredi 18 novembre 2016 11:06

Climatologie _ _ Albédo

 
Climatologie _ _ Albédo                                       La neige fraîche, avec un albédo très élevé, paraît très blanche
 
  L'albédo, ou albedo (sans accent), est le pouvoir réfléchissant d'une surface, soit le rapport de l'énergie lumineuse réfléchie à l'énergie lumineuse incidente. C'est une grandeur sans dimension, comparable à la réflectance, mais d'application plus spécifique, utilisée notamment en astronomie et climatologie — ainsi qu'en géologie.
Le mot, d'origine latine signifiant blancheur, a été introduit au xviiie siècle en optique et en astronomie par le mathématicien et astronome suisse Jean-Henri Lambert.
L'albédo, dans sa définition la plus courante dite albédo de Bond, est une valeur comprise entre 0 et 1 : un corps noir parfait, qui absorberait toutes les longueurs d'ondesans en réfléchir aucune, aurait un albédo nul, tandis qu'un miroir parfait, qui réfléchirait toutes les longueurs d'onde, sans en absorber une seule, aurait un albédo égal à 1. D'autres définitions, dont celle de l'albédo géométrique, peuvent donner des valeurs supérieures à 1.
 
Climatologie _ _ Albédo 
Mesures
 
Dans la pratique, un corps est perçu comme blanc dès qu'il réfléchit au moins 80 % de la lumière d'une source lumineuse blanche. À l'inverse tout corps réfléchissant moins de 3 % de la lumière incidente paraît noir.
 
Certaines matières ont un albédo très variable, comme les nuages. En revanche, les corps solides ont bien souvent des albédos fixes, dépendant de leur composition chimique. Par exemple, la lave a un albédo de 0,04, le sable entre 0,25 et 0,30, la glace environ 0,60, la neige (épaisse et fraîche) jusqu'à 0,90. L'albédo moyen terrestre est de 0,30 toutes surfaces confondues.
 
Usages

Climatologie

L'albédo est l'un des indicateurs prévenant de la température de la surface de la terre. C'est un « baromètre » des variations climatiques qui influe sur la connaissance de l'amplitude de l'effet de serre en opposant une rétroaction positive sur la température en surface et des océans, en fonction de la variation du volume des glaces.
 
Le refroidissement d'origine astronomique entraîne une extension des glaces continentales, de l'inlandsis, des glaciers, et donc une augmentation de l'albédo ; la planète réfléchit davantage le rayonnement solaire, en absorbe moins, ce qui amplifie son refroidissement. Le réchauffement a des effets inverses. Ce qui pose problème aujourd'hui : le réchauffement de la planète fait fondre la banquise polaire, ce qui diminue l'albédo et donc augmente la température de la planète. La planète Terre présente un albédo de Bond de l'ordre de 0,34.
 
Climatologie _ _ Albédo                         La lave a un albédo très faible, et réfléchit peu la lumière : elle apparaît noire
 
 
                                                                  Source Wikipédia
 
Tags : Climatologie, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le dimanche 20 septembre 2015 12:18

Modifié le mardi 13 juin 2017 05:49

Climat _ _ Rayonnement solaire

 
Climat _ _ Rayonnement solaire                                                Rayonnement solaire à travers les lattes d'une palissade.
 
   Le rayonnement solaire est l'ensemble des ondes électromagnétiques émises par le Soleil.
Il est composé de toute la gamme des rayonnements, de l'ultraviolet lointain comme les rayons gamma aux ondes radio en passant par la lumière visible. Le rayonnement solaire contient aussi des rayons cosmiques de particules animées d'une vitesse et d'une énergie extrêmement élevées.
 
L'étude du rayonnement électromagnétique du Soleil par la radioastronomie a permis d'énormes progrès dans la compréhension du fonctionnement interne du Soleil. Les ondes radio émises par le Soleil proviennent principalement des plasmas constituant la chromosphère et la couronne solaire. Les ondes centimétriques correspondent aux couches basses de la chromosphère tandis que la couronne émet des ondes décamétriques. Le plasma agit en fait comme un filtre passe-haut dont la fréquence de coupure dépend de la densité électronique du milieu.
 
Importance écosystémique

Elle est majeure pour la vie sur terre. Le rayonnement solaire est en effet :

☀  source d'énergie solaire, énergie rayonnante qui rend possible la vie sur Terre d'une part par      apport d'énergie thermique (chaleur, qui permet la présence d'eau à l'état liquide et de                vapeur) et d'autre part en tant que source d'énergie lumineuse (lumière) ;
☀  nécessaire à la photosynthèse (utilisée par les végétaux, mais aussi par les lichens et certains      micro-organismes). La lumière solaire est ainsi à l'origine de la quasi-totalité des réseaux              trophiques (et de l'essentiel du carbone fossile) ;
☀  permet l'orientation de nombreuses espèces (grâce à la polarisation naturelle de la lumière           solaire, même quand elle est réfléchie par la lune, lors du clair de lune) ; certaines espèces           utilisent la polarisation de la lumière réfléchie par l'eau ou la cuticule de certaines plantes ;
☀  contribue à l'épuration chimique de l'eau en détruisant certaines molécules écotoxiques ou           indésirables (quand l'eau n'est pas trop turbide). La lumière solaire (UV) a formé et                       entretient la couche d'Ozone qui protège les écosystèmes d'un excès d'UV cancérigènes et           destructeurs (tout en contribuant à former au niveau du sol de l'ozone troposphériques               toxique et écotoxique, principalement à partir des polluants dits "précurseurs de l'ozone",           émis par les moteurs, chaudières centrales, incendies...
☀  les UV solaires contribuent aussi à détruire une partie des microbes vivants ou survivants           dans les couches supérieures des eaux superficielles et océaniques (spectre ultraviolet).
☀  La chaleur apportée par le soleil a un effet synergique qui renforce l'effet désinfectant des            UV solaires, mais quand le ciel est lumineux mais couvert, cet effet disparaît.
 
Climat _ _ Rayonnement solaire
  
                                                                      Source Wikipédia
 
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#Posté le samedi 19 septembre 2015 06:36

Modifié le dimanche 31 janvier 2016 06:26

Atmosphère terrestre

 
Atmosphère terrestre L'atmosphère terrestre depuis l'espace.

Atmosphère terrestre           Les différentes couleurs sont dues à la dispersion de la lumière produite par l'atmosphère
 
L'atmosphère terrestre est l'enveloppe gazeuse entourant la Terre. L'air sec se compose de 78,087 % de diazote, 20,95 % de dioxygène, 0,93 % d'argon, 0,04 % de dioxyde de carbone et des traces d'autres gaz. L'atmosphère protège la vie sur Terre en absorbant le rayonnement solaire ultraviolet, en réchauffant la surface par la rétention de chaleur (effet de serre) et en réduisant les écarts de température entre le jour et la nuit.
 
Il n'y a pas de frontière définie entre l'atmosphère et l'espace. Elle devient de plus en plus ténue et s'évanouit peu à peu dans l'espace. L'altitude de 120 kmmarque la limite où les effets atmosphériques deviennent notables durant la rentrée atmosphérique. La ligne de Kármán, à 100 km, est aussi fréquemment considérée comme la frontière entre l'atmosphère et l'espace.
 
Description

La limite entre l'atmosphère terrestre et l'atmosphère solaire n'est pas définie précisément : la limite externe de l'atmosphère correspond à la distance où les molécules de gaz atmosphérique ne subissent presque plus l'attraction terrestre et les interactions de son champ magnétique. Ces conditions se vérifient à une altitude qui varie avec la latitude - environ 60 km au-dessus de l'équateur, et 30 km au-dessus des pôles. Ces valeurs ne sont toutefois qu'indicatives : le champ magnétique terrestre, en effet, est continuellement déformé par le vent solaire. L'épaisseur de l'atmosphère varie donc notablement. En outre, comme l'eau des océans, l'atmosphère subit l'influence de la rotation du système Terre-Lune et les interférences gravitationnelles de la Lune et du Soleil. Comme les molécules de gaz, plus légères et moins liées entre elles que les molécules de l'eau de mer, ont de grandes possibilités de mouvement, les marées atmosphériques sont des phénomènes beaucoup plus considérables que les marées océaniques.
La plus grande partie de la masse atmosphérique est proche de la surface : l'air se raréfie en altitude et la pression diminue ; celle-ci peut être mesurée au moyen d'un altimètre ou d'un baromètre.
L'atmosphère est responsable d'un effet de serre qui réchauffe la surface de la Terre. Sans elle, la température moyenne sur Terre serait de −18 °C, contre 15 °C actuellement. Cet effet de serre découle des propriétés des gaz vis-à-vis des ondes électromagnétiques.
  
Atmosphère terrestre                           Un coucher de soleil vu depuis l'ISS. (Station spatiale internationale)



Atmosphère terrestre
 
                                                                     Source Wikipédia
 
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#Posté le samedi 12 septembre 2015 05:29

Modifié le lundi 23 janvier 2017 11:18

Climatologie _ _ Foudre

 
Climatologie _ _ Foudre                                                                       Éclair au-dessus d'une ville
 
Climatologie _ _ FoudreDes éclairs zébrant le ciel de Schaffhouse (Suisse). Photo prise depuis Dörflingen. Un oiseau est aussi visible dans l'image. Quatre images de celui-ci sont visibles du fait de l'effet stroboscopique dû aux éclairs.
 
Climatologie _ _ Foudre                                                                      Animation de la décharge
 
La foudre est un phénomène naturel de décharge électrostatique disruptive qui se produit lorsque de l'électricité statique s'accumule entre des nuages d'orage, ou entre un tel nuage et la terre. La différence de potentiel électrique entre les deux points peut aller jusqu'à 100 millions de volts et produit un plasma lors de la décharge, causant une expansion explosive de l'air par dégagement de chaleur. En se dissipant, ce plasma crée un éclair de lumière et le tonnerre1.
La foudre a tendance à frapper de préférence les régions de haute altitude et les objets proéminents. Le tonnerre peut résonner d'un craquement sec lorsque l'éclair est proche ou gronder au loin. Comme la lumière voyage beaucoup plus vite que le son, l'éclair est visible avant que le tonnerre ne soit audible, ce qui permet d'estimer la distance a laquelle la foudre est tombée.
Elle présente de nombreux dangers : électrocution, déclenchement d'incendie, interférences électromagnétiques nuisibles à l'aviation et à la navigation, etc. C'est pourquoi, plusieurs techniques ont été développées pour la détecter et la canaliser afin de protéger les êtres vivants et les équipements.
 
La décharge
 
Lorsque ce champ électrostatique dépasse les limites diélectriques de l'air (variables selon les conditions d'humidité et de pression), il s'ensuit la décharge de foudre conduisant à un rééquilibre électrostatique (généralement une petite décharge de 50 à 100 mètres de longueur à la base du nuage, vers le bas mais un tiers de ces décharges proviennent du sol et montent vers les nuages et sont généralement visibles lors de gros orages).
Ce qui se passe ensuite pour un éclair nuage-sol se fait en trois étapes :

1.  la décharge arrache des électrons aux molécules de l'air, créant ainsi un canal ionisé appelé traceur ou précurseur qui transporte une faible charge électrique, avance vers une zone de charge opposée à une vitesse de l'ordre de 200 km/s. Une seconde décharge suit, prolongeant le traceur de quelques dizaines de mètres. Ce précurseur progresse par bonds (d'où le nom de traceur par bonds) de longueurs proportionnelles à l'amplitude de la décharge. Le traceur est le plus souvent à multiples branches, la progression vers le sol correspondant au chemin de moindre résistance ;

2.  les charges positives accumulées sous l'orage, en réponse à l'approche de la charge négative des précurseurs, ont tendance à se concentrer sur des objets élevés et pointus, tels que les arbres, les poteaux et les bâtiments, un phénomène que tentent d'exploiter les paratonnerres. Cela initie à un certain moment un traceur vers le nuage ;

3.  quand les deux se rejoignent, en général à moins de 100 mètres du sol, un arc électrique en retour se déclenche, utilisant le canal du précurseur (traceur en dard). Il libère les charges électriques accumulées et donne l'éclair proprement dit et le courant se propage à une vitesse qui peut atteindre 100 000 km/s.
 
Les décharges entre nuages se produisent de façon similaire en utilisant les zones de charges opposées d'un nuage à l'autre. Pour ce qui est des décharges dans un nuage, ne passant pas à l'air libre, il n'y a pas d'arc de retour mais seulement la rencontre des traceurs. Le processus de formation de la foudre peut atteindre une vitesse de 40 000 km/s et la décharge passe dans un canal qui a entre 50 mètres et 25 km de longueur et environ 3 cm de diamètre.
 
Climatologie _ _ Foudre                                                                       Eclairs à Belfort en France.
 
Climatologie _ _ Foudre                                                                Éclair nuage-sol près de Dardilly
 
Climatologie _ _ FoudreFréquence exceptionnelle durant un orage en 1991 à Sydney en Australie : un éclair toutes les 30 secondes pendant deux heures
 
 Climatologie _ _ Foudre

                                                                     Source Wikipédia
 
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#Posté le lundi 07 septembre 2015 05:58

Modifié le mercredi 16 septembre 2015 07:27

Climatologie _ _ Saison

 
Climatologie _ _ Saison                                                 Animation montrant les différentes saisons sur Terre.
 
     Une saison est une période de l'année qui observe une relative constance du climat et de la température. D'une durée d'environ trois mois (voir le tableau Solstice et Équinoxe ci-dessous), la saison joue un rôle déterminant sur l'état de la végétation qui dépend essentiellement de facteurs géographiques et climatiques localement modulés par des phénomènes de type El Niño.
L'expression : fruits et légumes de saison illustre parfaitement l'influence de la saison sur l'état de la végétation.
D'un point de vue astronomique, une saison correspond à l'intervalle de temps durant lequel la Terre occupe une portion de l'espace de sa révolution (rotation) autour du Soleil. C'est l'inclinaison de l'axe des pôles combinée à la révolution de la Terre autour du Soleil, qui fait qu'il se produit une alternance des saisons ; qui proviennent de la variation d'ensoleillement induite par l'orientation changeante vis-à-vis du rayonnement solaire. Elles correspondent aux périodes qui séparent le passage de la Terre à certains points de son orbite ou, réciproquement, du Soleil à certains points de la sphère céleste, et que la mécanique céleste désigne par les équinoxes et les solstices.
Ainsi, dans les zones de climat tempéré, les saisons astronomiques correspondent grossièrement à quatre phases d'évolution du climat dans l'année :printemps, été, automne, hiver. Dans les zones de climat tropical, on parle également de saisons mais dans le sens de saison des pluies et de saison sèche.
 
Importance et enjeux de la « saisonnalité »

Notamment dans les zones très froide et désertiques, la « saisonnalité »a une grande importance chronobiologique ; tant pour les espèces sédentaires (qui doivent par exemple s'adapter par des comportements d'hibernation ou d'estivation qui leur imposent de faire des réserves de graisses ou d'aliments et une longue phase d'immobilité ou de sommeil), que pour les espèces migratrices qui doivent également accumuler des réserves énergétiques et dont la nouvelle génération doit être apte à la migration à l'arrivée de la mauvaise saison. Ces processus sont en grande partie contrôlée par une hormone. Les animaux prédateurs (ex : lion, loup..) suivent parfois leurs espèces proies lors de leurs migrations (quand il s'agit de mammifères notamment), ce que faisait probablement aussi dans certaines régions l'homme préhistorique. Les éleveurs nomades pouvaient migrer entre les vallées et les montagnes selon la saison. Les premiers agriculteurs ont eu, eux, à s'adapter aux saisons de végétation et de fructification.
Dans le passé, les modifications longues de la saisonnalité, en lien avec les modifications de la pluviométrie semblent avoir été l'un des facteurs induisant chez la faune ou les arbres des phénomènes de gigantisme ou au contraire de « nanisme adaptatif ». Le réchauffement climatique s'il devait se poursuivre sur le long terme pourrait contribuer au retour de certains nanismes adaptatif notamment chez les mammifères sauvages tels que primates, équins et cervidés, comme cela s'est autrefois produit lors du Maximum thermique du passage Paléocène-Eocène (qui a duré environ 160 000 ans avec une hausse des températures mondiales atteignant 9 à 14 degrés Fahrenheit à son apogée) et comme cela s'est ensuite reproduit 2 millions d'années plus tard lors de l'ETM2 (Éocène Thermal Maximum 2, réchauffement de moindre ampleur avec + 5 °F au max. et d'une durée moins longue : 80 000 à 100 000 ans)
 
Climatologie _ _ Saison                                                                       Saison / Cernes des arbres
 
Mécanismes des variations climatiques saisonnières
 
Les variations climatiques saisonnières sont créées par un double facteur : d'une part la révolution de la Terre autour du Soleil, et d'autre part l'inclinaison de l'axe nord-sud de rotation journalière de la Terre par rapport au plan de son orbite autour du Soleil (écliptique).
En fonction de la position de la Terre par rapport au Soleil sur son orbite, la zone qui reçoit les rayons du Soleil de façon perpendiculaire se modifie donc. Plus les rayons arrivent proches de la perpendiculaire (c'est-à-dire plus le Soleil est proche du zénith), plus il fait chaud.
Pour un observateur terrestre, tout au long de l'année, le Soleil, bien que fixe, semble osciller autour de l'équateur, de sorte qu'il éclaire perpendiculairement et successivement, comme l'indique la table située ci-dessous :
1.  l'équateur, vers le 20 ou 21 mars, à l'équinoxe de printemps (hémisphère nord) ou d'automne (hémisphère sud) ;2.  le tropique du Nord, vers le 20 ou 21 juin, au solstice d'été (hémisphère nord) ou d'hiver (hémisphère sud) ;3.  l'équateur, de nouveau, vers le 22 ou 23 septembre, à l'équinoxe d'automne (hémisphère nord) ou de printemps (hémisphère sud) ;4.  le tropique du Sud, vers le 21 ou 22 décembre, au solstice d'hiver (hémisphère nord) ou d'été (hémisphère sud).Les noms des saisons et les variations climatiques sont donc inversés dans les deux hémisphères.
 
Climatologie _ _ Saison                                                Alternance des saisons dans l'hémisphère Nord.
 
Distance au Soleil et albédo

La vitesse de la Terre dépendant de sa position (deuxième loi de Kepler), les saisons ont une durée inégale :Selon une idée reçue assez courante, les saisons dépendraient de la distance Terre-Soleil, la Terre étant plus proche du Soleil en été qu'en hiver. Cette idée est fausse, car elle n'explique ni les variations de la durée du jour, ni l'inversion des saisons entre les hémisphères austral et boréal. La distance moyenne Terre–Soleil est de 150 millions de kilomètres avec une variation annuelle de plus ou moins 2,5 millions de kilomètres (soit 1,6 %). Actuellement, la Terre est au plus proche du Soleil (périhélie) vers le 4 janvier et au plus loin (aphélie) vers le 4 juillet, soit environ 2 semaines après les solstices respectivement de décembre et de juin. L'instant du périhélie arrivant en moyenne 25 min 7,278 s plus tard chaque année, le périhélie était simultané avec le solstice de décembre il y a très approximativement 800 ans et sera simultané avec le solstice de juin dans très approximativement 9 700 ans.
 
La vitesse de la Terre dépendant de sa position (deuxième loi de Kepler), les saisons ont une durée inégale :

☔   printemps boréal (automne austral), de l'équinoxe de mars au solstice de juin : 92,7 jours ;
☔   été boréal (hiver austral), du solstice de juin à l'équinoxe de septembre : 93,7 jours ;
☔   automne boréal (printemps austral), de l'équinoxe de septembre au solstice de                               décembre : 89,9 jours ;
☔   hiver boréal (été austral), du solstice de décembre à l'équinoxe de mars : 89,0 jours.
 
De par le léger retard annuel du périhélie, l'hiver et le printemps boréaux (été et automne austraux) voient leur durée diminuer progressivement tandis que l'été et l'automne boréaux (hiver et printemps austraux) voient leur durée augmenter progressivement ; lorsque le périhélie sera à mi-parcours entre le solstice de décembre et l'équinoxe de mars (dans très approximativement 1 800 ans), l'hiver boréal (été austral) sera au plus court avant d'augmenter tandis que l'été boréal (hiver austral) sera au plus long avant de diminuer.
De par la variation de la distance Terre-Soleil, les saisons devraient avoir un contraste plus grand dans l'hémisphère sud que dans l'hémisphère nord. Cependant, des effets globaux (masses océaniques, différence d'albédo) et locaux (proximité des océans, vents dominants, ...) viennent contredire cette prévision. Ainsi, au lieu d'avoir une température globale (moyennée sur l'ensemble de la surface terrestre) 4 °C plus élevée au périhélie qu'à l'aphélie (cas d'une surface uniforme), la Terre a une température globale 2,3 °C plus faible au périhélie qu'à l'aphélie. Cela est dû principalement à la différence du rapport terre/océan entre les deux hémisphères (l'hémisphère sud est marin à environ 80 %, l'hémisphère nord est marin à environ 60 %) et à l'inertie thermique élevée des océans, entraînant un déphasage thermique d'environ 6 mois.
 
Par comparaison, la planète Mars, de par l'absence d'océan et une surface plus uniforme ainsi que la forte excentricité de son orbite, présente une température globale plus de 20 °C plus élevée au périhélie qu'à l'aphélie.
 
Inspiration artistique
 
Climatologie _ _ Saison                                   Ker-Xavier Roussel Les Saisons de la vie 1892-1895 Musée d'Orsay

Les saisons ont depuis toujours inspiré les artistes comme les peintres, les compositeurs...
Les quatre saisons de Vivaldi en sont sans doute l'illustration musicale la plus connue, mais on peut aussi citer, par exemple, Die Jahreszeiten (les saisons) de Joseph Haydn, Les Saisons (œuvre pour piano seul) de Tchaïkovski. Les Quatre saisons d'Archibald.

 Climatologie _ _ Saison

                                                                    Source Wikipédia
 
Tags : Climatologie, Photographie.♥, SOS Planete
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#Posté le samedi 05 septembre 2015 15:24

Modifié le mercredi 16 septembre 2015 07:29

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